Une journée avec les pompiers.

Le jeudi 7 juin, les pompiers sont venus dans notre classe pour nous parler des premiers secours.

Le matin, ils nous ont présenté leur métier et ils nous ont appris à passer des messages ou appels d’alerte. Il faut dire le nombre de victimes, l’âge, l’adresse, le téléphone, notre identité et donner la « photo » de la situation. Nous avons revu les numéros de téléphone, celui à retenir est le 112 car il regroupe les pompiers, le SAMU et la police ou gendarmerie et il est utilisé dans toute l’Europe.

Ils nous ont aussi appris à venir en aide à une personne qui s’étouffe. Si c’est une obstruction totale, il faut donner 5 tapes au niveau des omoplates et si cela ne fonctionne pas on fait cinq compressions et ainsi de suite. Si c’est une obstruction partielle, on met au repos et on appelle les secours et on ne tape surtout pas dans le dos.

L’après-midi, nous avons fait des exercices sur une personne inconsciente. Nous avons appris à mettre une personne en PLS (position latérale de sécurité) puis à faire le massage cardiaque, le bouche à bouche et à utiliser un défibrillateur sur un nourrisson ou un enfant ou un adulte.

Tout au long de la journées, nous avons fait des entraînements et des saynètes pour que cela soit plus facile.

 

Merci à Mr Bazin, Anthony et Xavier, les pompiers,  pour cette journée. Ils nous ont appris beaucoup de choses.

 

« C’était éducatif et en même temps un peu compliqué car on ne fait pas ça tous les jours, mais après cela vient tout seul. » Klervy

« C’était bien car souvent on fait du travail et du coup cela faisait une journée un peu différente et on a appris ce qu’il fallait faire. On n’apprend pas ça à la maison. » Sophie

« J’ai bien aimé mais le bouche à bouche cela m’a dégoûtée un petit peu. » Léa C

« C’était bien, comme ça on pourra aider des gens qui en auront besoin. » Coline

« J’ai bien aimé car si il y a une personne qui est inconsciente, on sait quoi faire.  » Lilas

« J’ai bien aimé car ce qu’on voit à la télé ce n’est pas forcément vrai et là on a pu voir comment on faisait vraiment ». Antoine